Dorian
Nicoletti
Relationnel
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Transformation digitale des entreprises
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Prospective
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Ecoute et vision du marché
RESTITUER LES ATTENTES DE NOS CLIENTS ET ANTICIPER LA REPONSE A LEURS BESOINS
« Je crois que l’un de mes talents est de pouvoir très rapidement percevoir « l’entièreté » d’un client : là d’où il vient, là où il va… De fait, je vais tout mettre en œuvre pour faire en sorte qu’il puisse se réaliser, avec élégance si possible »
Dorian TOUS AZIMUT
Le héros de cinéma qui vous inspire ?
Rocky Balboa. Au-delà de ses muscles, il incarne la générosité, une vraie capacité à se transcender pour les autres.
Votre rêve le plus fou ?
Continuer à rester en vie !
Votre juron favori ?
Ta mère !
Quel est votre rapport aux textos ?
En forte croissance ! C’est exponentiel. Il y a 5 ans j’étais à 2 textos par jour, il y a 2 ans à 20 textos par jour, et aujourd’hui j’en suis à 200 par jour !
Une voix qui vous émeut ?
Celle de Stephan Eicher.
Rouge, bleu ou vert ?
Rouge.
Vin rouge, vin blanc ou bière ?
Vin rouge.
Un objet fétiche ?
Mes oreilles ! Enfant, je caressais mes oreilles comme un doudou. Et ça m’est resté.
Êtes-vous ponctuel ?
Jamais.
Adepte de la rêverie ?
Toujours. En permanence. Partir, s’évader, trouver des idées, des subterfuges, des choses en rupture. Oui, le rêve en rupture, j’aime bien ça.
L’élément dans lequel vous vous sentez le mieux ?
Les humains.
Une musique qui vous trotte dans la tête ?
Déjeuner en paix de Stephan Eicher. Encore lui !
Avez-vous une bonne vue ?
Excellente.
La dernière expo qui vous a bouleversé ?
J’ai été au Musée de L’Ermitage en Russie et ce qui m’a surpris, c’est la capacité à réunir autant d’oeuvres en un endroit. Ça ne m’a pas bouleversé, mais ça m’a subjugué.
Êtes-vous patient ?
Pas du tout.
Un lieu qui vous a fait rêver ?
C’est un souvenir d’enfance. J’aime bien aller à la Wantzenau et à Schirmeck, en Alsace. C’est comme un bonbon sucré.
Nostalgique ?
Beaucoup, oui. Mais je sais regarder devant. La nostalgie ne me freine pas. Mais j’aime bien revenir en arrière, sur les fondamentaux. Pour garder les pieds sur terre.
Une odeur qui vous est chère ?
L’eau de Cologne. Celle que mettait mon grand-père. Le musc me rassure aussi. Ça m’apaise.
Ecoutez-vous la radio le matin ?
Oui. BFM. J’ai besoin de savoir dans quel monde je me situe et j’évolue. Par curiosité personnelle.
Votre animal totem ?
L’aigle. C’est racé, fluide, ça a un oeil perçant. Ça sait attendre le bon moment au bon endroit pour attaquer.
Tintin ou Milou ?
Tintin. Je suis fan de Tintin depuis tout petit. Mais l’un ne va pas sans l’autre.
Êtes-vous adepte de la promenade ?
A fond ! Je promène mon chien à 7h le matin et à 21h le soir. Je me promène quand je vais courir aussi. C’est le seul moment où je suis serein, où j’arrive à me poser les bonnes questions. Ce sont des moments d’introspection. C’est indispensable dans ma vie.
Êtes-vous sensible à l’acoustique d’un lieu ?
Enormément. Chez moi, j’ai mis des plafonds bas et j’ai une bonne sono. J’aime ce son assez organisé en fait. Ça me rassure. Les échos me perturbent.
Aimez-vous les avions ?
J’adore les avions ! Mais plus le temps passe et plus j’en ai peur. Parce que c’est une zone non maîtrisée quand on est dans l’air. Mais c’est tellement beau, racé et performant, un avion… Depuis tout petit, j’adore ça. Et enfant, je voulais être pilote. .
Pas, trot ou galop ?
Galop ! Vitesse ! Moto, voiture, excès de vitesse, perte de permis, tout va avec ! Il ne faut pas me donner des voitures qui vont vite. La vitesse est une passion ! J’ai fait de la course à pied pour aller vite.
Un exploit sportif ?
Celui de donner tort à tous ceux qui pensaient que je n’étais pas sportif. J’ai été vice-champion de France du 1500 mètres sur piste en course à pied quand j’avais 14-15 ans, puis j’ai gagné pas mal d’autres titres. Dans la course à pied, du début à la fin, on est face à soi-même. Ça exige de l’assiduité, de la capacité à se transformer physiquement, à affuter son mental. Ça m’a beaucoup nourri.
Aimez-vous le kitsch ?
Oui, j’adore ! Rocky 1 est kitsch !
